mardi 26 mars 2019

Samsung pourrite cassé de pauvre, même pas moyen de corriger les fautes, j'abandonne pour aujourd'hui. «Ta sagesse» est, Président, à la fois puérile et, c'est bien pire pour le coup, sénile. Sénile, c'est à dire trop jeune et pas assez. Je sais tout ce que j'écris est paradoxal, tant qu'on peut croire que m'y suis perdu. Ta sagesse date des trentes glorieuses et de la guerre froide, elle n'a quasi rien de vraiment antique ou de post-moderne. Puérile et sénile, oui, exactement ce que tu penses en secret et certain d'une évidence de  cette septuagénaire encore verte dont le sang a  coulé, marginale collatéralement ou  accidentellement fracassée. Toi aussi tu es un  exclu. C'est lié, petit prétentieux handicapé demi  habile, à ton incapacité à mettre en cohérence les données du probleme que nous t'exposons en  incohérence, ce de la place des femmes au  énergies du fossile, ces grands dinosaures, ce  grand dinosaure pas vraiment végétalien. Tu  t'exclus en faisant la morale, tu  es encore trop du coté des résidences sécurisées. Nous, nous ne sommes pas présentés. Trop humbles. Ce qui est en train d'avorter ou près de se  delivrer, c'est la volonté du peuple, dont, petite  tête blonde, tu fais partie même si tu en as tiré  parti. Il te faudra régler ça, et nous serons durs,  même si tentés par la compassion, durs parce- que tentés par la compassion. Notre sagesse  titube -elle apprend à marcher- et sera tienne un  jour, après ta prochaine chute, si Dieu le veut  comme dirait l'autre. Elle sera au moins celle de  tes semblables actuels, et en dernier lieu de ceux que tu te veux, petit manipulé, pour semblables. Ce puisque tu ne peux éprouver vraiment dans tes tripes que nous sommes tous semblables, ceux qui renonceront au survivalisme de riche, ceux qui ne prendront, allez encore un peu de miroir mal poli, l'ombre pour la prjeoie.  Je mélange tout ? Je suis sûr de moi. Comme tu  l'as été, déjà programmeur de ton grand vertige, celui sans ivresse. Ainsi le monde avance, vers le salut ou le précipice. Nul des deux  n'exclut la sagesse, cet absolu stupide, car  innateignable, toujours davantage furtif que mûri, parfois fulgurant. Alors tous teignousses et  niaquousses. Avec nous-mêmes et nous autres.  Et pour les violents de tous bords, ce qu'ils ne  peuvent arriver à formuler : qu'on soit Etat ou  mégère ou multifirme, quand on se comporte  comme un petit dealer de banlieue, on assume la violence.  Vrai je roule au diesel, et surtout je fume des  clopes. Les bons pères de famille savent ceci : la santé des plus jeunes se fait toujours, à  un moment ou à un autre, au détriment de la  sienne propre. Nous sommes en règle avec ça  comme le reste. Radicalement non-violents et en  même temps, déterminés. Ou prédestinés. Mais  nous avons tout bien lu Nietzsche. Ce gai pantin,  ce maudit frère. Prépare toi à entendre ds mots  par lesquels tu te sentiras vraiment dépassé. It is not over. Even when u're dead it is not over. Don't kill me. Un branleur même pas anonyme.

Samsung pourrite cassé de pauvre, même pas moyen de corriger les fautes, j'abandonne pour aujourd'hui. «Ta sagesse» est, Président, à la fois puérile et, c'est bien pire pour le coup, sénile. Sénile, c'est à dire trop jeune et pas assez. Je sais tout ce que j'écris est paradoxal, tant qu'on peut croire que m'y suis perdu. Ta sagesse date des trentes glorieuses et de la guerre froide, elle n'a quasi rien de vraiment antique ou de post-moderne. Puérile et sénile, oui, exactement ce que tu penses en secret et certain d'une évidence de  cette septuagénaire encore verte dont le sang a  coulé, marginale collatéralement ou  accidentellement fracassée. Toi aussi tu es un  exclu. C'est lié, petit prétentieux handicapé demi  habile, à ton incapacité à mettre en cohérence les données du probleme que nous t'exposons en  incohérence, ce de la place des femmes au  énergies du fossile, ces grands dinosaures, ce  grand dinosaure pas vraiment végétalien. Tu  t'exclus en faisant la morale, tu  es encore trop du coté des résidences sécurisées. Nous, nous ne sommes pas présentés. Trop humbles. Ce qui est en train d'avorter ou près de se  delivrer, c'est la volonté du peuple, dont, petite  tête blonde, tu fais partie même si tu en as tiré  parti. Il te faudra régler ça, et nous serons durs,  même si tentés par la compassion, durs parce- que tentés par la compassion. Notre sagesse  titube -elle apprend à marcher- et sera tienne un  jour, après ta prochaine chute, si Dieu le veut  comme dirait l'autre. Elle sera au moins celle de  tes semblables actuels, et en dernier lieu de ceux que tu te veux, petit manipulé, pour semblables. Ce puisque tu ne peux éprouver vraiment dans tes tripes que nous sommes tous semblables, ceux qui renonceront au survivalisme de riche, ceux qui ne prendront, allez encore un peu de miroir mal poli, l'ombre pour la prjeoie.  Je mélange tout ? Je suis sûr de moi. Comme tu  l'as été, déjà programmeur de ton grand vertige, celui sans ivresse. Ainsi le monde avance, vers le salut ou le précipice. Nul des deux  n'exclut la sagesse, cet absolu stupide, car  innateignable, toujours davantage furtif que mûri, parfois fulgurant, mais jamais vraiment sage, sinon passive, théologique, hierarchique, obscurantiste, aussi lumineuse soit-elle. La vraie lumière n'est jamais douce. Alors tous teignousses et  niaquousses. Avec nous-mêmes et nous autres.  Et pour les violents de tous bords, ce qu'ils ne  peuvent arriver à formuler : qu'on soit Etat ou  mégère ou multifirme, quand on se comporte  comme un petit dealer de banlieue, on assume la violence.  Vrai je roule au diesel, et surtout je fume des  clopes. Les bons pères de famille savent ceci : la santé des plus jeunes se fait toujours, à  un moment ou à un autre, au détriment de la  sienne propre. Nous sommes en règle avec ça  comme le reste. Radicalement non-violents et en  même temps, déterminés. Ou prédestinés. Mais  nous avons tout bien lu Nietzsche. Ce gai pantin,  ce maudit frère. Prépare toi à entendre ds mots  par lesquels tu te sentiras vraiment dépassé. It is not over. Even when u're dead it is not over. Don't kill me. Un branleur même pas anonyme.

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