mercredi 27 mars 2019

Echange dans la cuisine. Pas un pli la boxeuse alcoolique, malgré qu'elle essaye. Torse nu. Moche. Mal branlé. Scoliose. Côtes saillantes. Hypoglycémie. Tremblement. Stupeur masquée héhé. Laisse. Branco. Lâche. Les muscles lâches dénoués héhé soyple et sans arme. Elle fait des aller-retours. «Je vais pas y arriver» et moi : «C'est normal». Je lui ai dit qu'elle était normale. Le monde est de travers. Lâche. Laisse. Lisse. Rempote. Et puis cet insistant appel vers le combat ou la conquête ou la mort. Branquignole. Un chien furieux quand même.

Douche. Urine brune. Encore dessous. Rebenu. De mémoire : pouce rssuyé, puis les deux pour zoomer. Si elle bouge elle perd et ellr ne veut pas perdre. Elle a raison. Elle me veut athée. L'un des deux aura l'autre. Gouttes prosaïques. Shamppoing d'une main. Je t'avais prévenue. Toi aussi. Marion Adeline Nolwenn... Aurore ? Retour. Corrections puis flemme. Elle se mave les dents. Coloc. À poil. Quasi imberbe. Cool. Lâche. Elle est perdue. Élance-toi. Trop tard, elle est venue coller son sein contre mon bras. Elle va déguster. Et je ferai rien. Mi molle. Je contrôle. Lâche ta chienne. Laisse Aurore en paix. Prends tes armes.

les yeux bleus. Ils vont voir ce que c'est qu'un regard. Qu'un renard. Lâche. Fume-les toutes et jusqu'à la dernière. Gare. Garde. Bourrichon bourrique barrique foudres. Comme ceux d'Emmanuelle Béart. En venir aux mains qui tellement disent tes belles mains de paysan qui caresse la Terre. Lâche souffrance ta chienne c'est un faux nom elle s'appelle Folie ou ibresse ivresse ibérique chasseur cueilleur Lascaux ya mieux néanderthal génocide nasques. Gastibelza c'est tellement têtu ce machin lâche. La mule du pape et Coluche. Cléopâtre. Madame n'aime pas. On va voir ça. Et bien sûr leyenda nonne. Pause pour écrire. En faisant défiler corrections. Petit maître. Majuscules E.B. Retour en arrière. Même pas la peine de taper Goldman. Fumé d'avance. La dernière, les miettes sir le lit. Se taire ? Lâche. Elle enterrera pas ceux partis en nuages. Sombre. Lâche. Réponse : «: ) j'écris. Je t'ai presque fait un coming-out hier soir, ça mérite ça embezoine. Je sais pas, ça va dépendre de toi, de moi, entre autres. De Christophe. Ou Nathalie, ou Thierry ou Grégoire... Ma nouvelle coloc. Sara, Laurence. Marlène ! Mais là on touche à de la probabilité quantique vu les chances.» Le temps de revenir et de copier coller oublis. Reste mensonges ou aveu ? Mensonges. Mensonge. Lâche. Tu es au filtre. Haha petit jeu. Lâche. Toi aussi tu vas voir. Montreur d'ours. Cavalinho branco. Lâche, arriviste, donneur, balance. Tes mains qui font même se taire. La vie antérieure, Léo. Que voulez vous que je fasse, seigneurs haut et bas, tout à la pointe de la pyramide ? C'est là la question redoutable. Je vais la poser. Entre moi et eux il n'y aura que ça et ils ne sauront pas. Soron. Hastibelza. Lâche. Au bon moment. Normal. Au monde de travers de traviole je sens je glisse. Et non. La main, la poigne. À s'en faire expmoser les chiquettes.

Sms 7h22. Cabrel, In extremis. J'ai chialé. Hier c'était Azincourt cause plu de papillons. Qu'est ce que notre espèce est en train de faire ? Dans une qui s'appelle “Pas si bêtes“ il parle de la basse cour, eux, nous. Désolé de t'envoyer des messages, Quentin. J'ai peur de me radicaliser. Branco fait le boulot pourtant, mais il concède mal à Hanouna son humanité, il explique pas. Pas assez dur, compromis. Il ne relie pas la volonté de puissance -ou de sécurité- à l'oeuvre commune. Celle qui règlerait la condition humaine. Le dénominateur. Les trucs de Barrau, Jancovici... Il est corporatiste et destructeur et il a raison. Mais ça suffit pas. Il n'a pas digéré son passage chez les insoumis. Mangé leur programme. Je suis pas amoureux de toi, Quentin. C'est juste que t'es le seul qui me supportes un brin, un grain. Et pas une femme, pas une, qui sorte du lot et crache ces vérités. Alors qu'il n'y a que l'une d'entre elles qui pourraient les faire se lever toutes, et sauver le plus grand nombre. Personne. Alors nous condamnés aux petits règnes de violence, ou de silence. Cabrel encore. Carte postale, live. Cruelle ironie, paradoxe. Bondir ou se complaire. Mais peut-on dévaster et relever tout ce qu'il y a à dévaster et relever en poussant la chansonnette ? Non. Madame n'aime pas, live. Back to black. Décroissance sans pitié sans confort et la grande humanité, extrêmement civilisée, sauvage. La hargne et la colère. Tant pis pour la tendresse. Les drogués enragés, les chiens. Brassens, supplique. Fleur de pays, brun. Moi aussi je fais de la pub pour des connards. Que des connards un brin utiles. «Avant Pasteur on ne se souciait pas d'abattre ou pas les canidés agressifs et les troupeaux malades.» Lachez-les. La nuit je mens. Lachez-les. Corrida. Lâchez-le lâche-le lâche le chien fais parler la puissance les chevaux les écureuils lâche le chien de guerre de combat si si hombre lâche tout le lâche va au devant des balles guerrier guerrier guerrier un chien pour les arbres et les buissons ils vont voir si je pisse gare au gorille cabrel. Madame n'aime pas ? Lâche. Garde. Garde contre. Lâche. Robe échelle. Agen. Le jardin. La statue. Lâche. L'oubli des melons. Sans pardon. Tabac. Nos vies de mortels. L'arrivisme. Lâche. Serre. Tu t'en fous de l'élégance. C'était toi la dame. Back to black. Pour elle. Pour elles. Pas d'ensemble possible. Lâche-toi. No mercy. No mercy anyway. Pas de cancer. Encore amy, titre évoquant. Cabrel k way san biscottes pellegrino severino. Allez tombe sur gorille t'es un chien. Klebs. Ils vont voir. Refus d'héritage. La dame c'est toi. Fou déliant reliant. Sara Laurence Marlène. Recherche cabrel gorille. Même pas la peine de taper Drucker. Lâche et l'art porte la révolte et l'erreur provoque l'art. Gare au gorille gare. Vrai come back faux come out. Gastibelza. Lâche. Fume une brune. Serre les chicots, qu'ils explosent. T'as

mardi 26 mars 2019

Samsung pourrite cassé de pauvre, même pas moyen de corriger les fautes, j'abandonne pour aujourd'hui. «Ta sagesse» est, Président, à la fois puérile et, c'est bien pire pour le coup, sénile. Sénile, c'est à dire trop jeune et pas assez. Je sais tout ce que j'écris est paradoxal, tant qu'on peut croire que m'y suis perdu. Ta sagesse date des trentes glorieuses et de la guerre froide, elle n'a quasi rien de vraiment antique ou de post-moderne. Puérile et sénile, oui, exactement ce que tu penses en secret et certain d'une évidence de  cette septuagénaire encore verte dont le sang a  coulé, marginale collatéralement ou  accidentellement fracassée. Toi aussi tu es un  exclu. C'est lié, petit prétentieux handicapé demi  habile, à ton incapacité à mettre en cohérence les données du probleme que nous t'exposons en  incohérence, ce de la place des femmes au  énergies du fossile, ces grands dinosaures, ce  grand dinosaure pas vraiment végétalien. Tu  t'exclus en faisant la morale, tu  es encore trop du coté des résidences sécurisées. Nous, nous ne sommes pas présentés. Trop humbles. Ce qui est en train d'avorter ou près de se  delivrer, c'est la volonté du peuple, dont, petite  tête blonde, tu fais partie même si tu en as tiré  parti. Il te faudra régler ça, et nous serons durs,  même si tentés par la compassion, durs parce- que tentés par la compassion. Notre sagesse  titube -elle apprend à marcher- et sera tienne un  jour, après ta prochaine chute, si Dieu le veut  comme dirait l'autre. Elle sera au moins celle de  tes semblables actuels, et en dernier lieu de ceux que tu te veux, petit manipulé, pour semblables. Ce puisque tu ne peux éprouver vraiment dans tes tripes que nous sommes tous semblables, ceux qui renonceront au survivalisme de riche, ceux qui ne prendront, allez encore un peu de miroir mal poli, l'ombre pour la prjeoie.  Je mélange tout ? Je suis sûr de moi. Comme tu  l'as été, déjà programmeur de ton grand vertige, celui sans ivresse. Ainsi le monde avance, vers le salut ou le précipice. Nul des deux  n'exclut la sagesse, cet absolu stupide, car  innateignable, toujours davantage furtif que mûri, parfois fulgurant. Alors tous teignousses et  niaquousses. Avec nous-mêmes et nous autres.  Et pour les violents de tous bords, ce qu'ils ne  peuvent arriver à formuler : qu'on soit Etat ou  mégère ou multifirme, quand on se comporte  comme un petit dealer de banlieue, on assume la violence.  Vrai je roule au diesel, et surtout je fume des  clopes. Les bons pères de famille savent ceci : la santé des plus jeunes se fait toujours, à  un moment ou à un autre, au détriment de la  sienne propre. Nous sommes en règle avec ça  comme le reste. Radicalement non-violents et en  même temps, déterminés. Ou prédestinés. Mais  nous avons tout bien lu Nietzsche. Ce gai pantin,  ce maudit frère. Prépare toi à entendre ds mots  par lesquels tu te sentiras vraiment dépassé. It is not over. Even when u're dead it is not over. Don't kill me. Un branleur même pas anonyme.

Samsung pourrite cassé de pauvre, même pas moyen de corriger les fautes, j'abandonne pour aujourd'hui. «Ta sagesse» est, Président, à la fois puérile et, c'est bien pire pour le coup, sénile. Sénile, c'est à dire trop jeune et pas assez. Je sais tout ce que j'écris est paradoxal, tant qu'on peut croire que m'y suis perdu. Ta sagesse date des trentes glorieuses et de la guerre froide, elle n'a quasi rien de vraiment antique ou de post-moderne. Puérile et sénile, oui, exactement ce que tu penses en secret et certain d'une évidence de  cette septuagénaire encore verte dont le sang a  coulé, marginale collatéralement ou  accidentellement fracassée. Toi aussi tu es un  exclu. C'est lié, petit prétentieux handicapé demi  habile, à ton incapacité à mettre en cohérence les données du probleme que nous t'exposons en  incohérence, ce de la place des femmes au  énergies du fossile, ces grands dinosaures, ce  grand dinosaure pas vraiment végétalien. Tu  t'exclus en faisant la morale, tu  es encore trop du coté des résidences sécurisées. Nous, nous ne sommes pas présentés. Trop humbles. Ce qui est en train d'avorter ou près de se  delivrer, c'est la volonté du peuple, dont, petite  tête blonde, tu fais partie même si tu en as tiré  parti. Il te faudra régler ça, et nous serons durs,  même si tentés par la compassion, durs parce- que tentés par la compassion. Notre sagesse  titube -elle apprend à marcher- et sera tienne un  jour, après ta prochaine chute, si Dieu le veut  comme dirait l'autre. Elle sera au moins celle de  tes semblables actuels, et en dernier lieu de ceux que tu te veux, petit manipulé, pour semblables. Ce puisque tu ne peux éprouver vraiment dans tes tripes que nous sommes tous semblables, ceux qui renonceront au survivalisme de riche, ceux qui ne prendront, allez encore un peu de miroir mal poli, l'ombre pour la prjeoie.  Je mélange tout ? Je suis sûr de moi. Comme tu  l'as été, déjà programmeur de ton grand vertige, celui sans ivresse. Ainsi le monde avance, vers le salut ou le précipice. Nul des deux  n'exclut la sagesse, cet absolu stupide, car  innateignable, toujours davantage furtif que mûri, parfois fulgurant, mais jamais vraiment sage, sinon passive, théologique, hierarchique, obscurantiste, aussi lumineuse soit-elle. La vraie lumière n'est jamais douce. Alors tous teignousses et  niaquousses. Avec nous-mêmes et nous autres.  Et pour les violents de tous bords, ce qu'ils ne  peuvent arriver à formuler : qu'on soit Etat ou  mégère ou multifirme, quand on se comporte  comme un petit dealer de banlieue, on assume la violence.  Vrai je roule au diesel, et surtout je fume des  clopes. Les bons pères de famille savent ceci : la santé des plus jeunes se fait toujours, à  un moment ou à un autre, au détriment de la  sienne propre. Nous sommes en règle avec ça  comme le reste. Radicalement non-violents et en  même temps, déterminés. Ou prédestinés. Mais  nous avons tout bien lu Nietzsche. Ce gai pantin,  ce maudit frère. Prépare toi à entendre ds mots  par lesquels tu te sentiras vraiment dépassé. It is not over. Even when u're dead it is not over. Don't kill me. Un branleur même pas anonyme.

Quand les nobles furent inutiles, courtisans, il furent destitués ou -c'est collatéral autant qu'inacceptable, moins cruel en fait- décapités. Les bourgeois ont changé la nature des chaînes du peuple, par la dette (en fait «car les dettes») d'une part et par le discours de l'autre. Ils l'ont déchaîné sans mesure d'une part, et de l'autre avec toute la mesure et la prudence dont on les sait capables. C'est le même mécanisme depuis le néolithique, et certainement avant. Je ne cherche pas à me faire comprendre, je cherche encore à être compris. C'est ma nuance élitiste. L'espoir qui nous fait amèrement sourire. Nous, je, d'une certaine façon toute figurée, sommes prêts, assez entraînés, à nous décapiter nous-mêmes. Des individus. Pas au sens flic. Au sens Nietzsche. Pour ce qui est du sens Brel ou Cabrel, ce sera pour plus tard. Nous ne sommes pas indemnes d'humanité.